Un intérieur spacieux
Cette sensation de place est bien réelle, c'est la résultante de la conception mécanique : en effet le plancher est plat, le tunnel de transmission n'existe plus, le levier de vitesses au volant permet un gain de place au sol et enfin les passages de roues gênants pour les passagers à l'arrière sont supprimés ! Pour les modèles avec deux portes, l'accessibilité à l'arrière est cependant plus difficile.
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Un tableau de bord sobre.
La planche de bord en tôle peinte, est surmontée d'une visière noire en plastique. Cette dernière traversera mieux le temps que le dessus du tableau de bord des P5 souvent fendu. L'agencement est simple, d'un goût quelque peu américain aux dires de certains à l'époque. Les plus pointilleux regretteront l'absence d'un compteur journalier et les habitués de la critique facile pourront se gausser de l'optimisme du nouveau compteur de vitesse (à partir de septembre 1963) affichant présomptueusement 160 km/h à la place de 140 !
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